Le Pèlerin

En 2018, le magazine Pèlerin a décidé de lancer une nouvelle formule pour viser une cible plus jeune, booster les abonnements et renforcer les liens avec sa communauté de lecteurs. L’agence Anoir est à l’origine de la nouvelle formule papier lancée le 11 avril 2019.

Le 25 octobre 2018, Bayard me contacte pour me confier le projet de refonte du site Internet www.lepelerin.com, avec une deadline plutôt courte pour un projet de cette ampleur puisque les maquettes devront être finalisées pour le 20 janvier. Les rendez-vous préparatoires s’enchaînent à partir de mi-novembre, je tâte le terrain graphique courant décembre pour tester quelques options ergonomiques et début janvier, lorsque la maquette papier est validée, les travaux commencent !

Le principal challenge consistait à concevoir une maquette qui puisse séduire une cible plus jeune tout en restant parfaitement adaptée pour la fraction plus âgée des abonnés. Le site devait également expliciter le concept des 4 communautés (Patrimoine, Pèlerinages, Spiritualité, Initiatives locales) chacune identifiée par un code couleur (violet, vert, bleu, orange).

La maquette est donc conçue sur un principe des briques graphiques déclinées autour d’une dominante commune jaune / blanc / gris / noir et des 4 couleurs complémentaires réparties dans les pages sur des zones facilement déclinables en CSS par un principe d’héritage de classes.

La mécanique de promotion des abonnements a également fait l’objet d’une réflexion approfondie par la mise en place d’un tunnel à double entrée (abonnement / réabonnement).

L’ergonomie du site est basée sur un principe simple en parfaite adéquation avec les touch devices : je vois, je clique, j’y vais. Un minimum d’artifices ergonomiques donc et lorsque ceux-si s’imposent, nous avons veillé à ce que le design soit totalement orienté pour en expliciter les mécanismes.

L’intégration du site a été confiée à Corinne Paumier avec laquelle j’ai eu plusieurs fois l’occasion de collaborer. Le 11 avril, une V1 était au rendez-vous, après quelques mois de travail et de réflexion dignes d’un e-marathon.